Caractère ; Regarde la neige… Lorsque l’hiver vient, elle tombe en silence. Laissant derrière elle, un drap blanc immaculé. Regarde-la avec mélancolie. Tandis que tu sens l’air glacial surprendre tes poumons. Dans un souffle calme. Lorsque l’on te regarde, on voit un jeune garçon sérieux. Qui inspire la sérénité. C’est celui qui a un bel avenir qui se distingue. Intelligent et posé. Qui parfois, par la fenêtre, ses yeux vont se poser, observer. La douceur se lit, et les lumières dorées dansent avec légèreté. Tu es une de ces têtes de classe. L’une de ses personnes qu’on pense trop distant avec le monde. Est-ce vrai ? Plus ou moins. Tu ne te montres pas très sociable. Pourtant, tu apprécies écouter les rires de tes camarades. Voir leur sourire. Loin de cela. Le bonheur et la liberté d’autrui, laissent ce goût fruité qui réjouit ton cœur. Tu sembles parfois inaccessible, il est vrai, lorsque tu es concentré, un mur vient t’entourer. Néanmoins, tu as le cœur sur la main. Et tu as plus de caractère qu’on pourrait le croire...

Sous ce paysage hivernal, tu contemples, tu te sens lassé. Dans ce lieu solitaire, tu sens l’envie de hurler. Hurler jusqu’à ce que ta poitrine te brûle. Que ta gorge n’en puisse plus. Laisser s’échapper cette frustration, cette rage. Parce que tu en as assez. Assez de vivre au sein d’une famille portée sur les traditions. Une famille qui cherche à tracer ton chemin. N’as-tu donc pas de choix qui s’offrent à toi ? N’as-tu donc pas le droit de choisir ta voie ? La vie veut t’en empêcher. Mais tu le maudis ce destin qu’on t’impose. Tu le maudis et tu veux l’envoyer valser. Tu n’es pas un pantin. C’est la crise et les mots s’expriment. L’avalanche qui a enfoui tes sentiments, tu l’as surmontée. Tu t’es élevé au-dessus. Non pas avec fierté, mais détermination.

Ce ne sont pas de pâles couleurs qui déterminent ton âme. Tu es pure, rempli de sincérité, de simplicité. Et une page vide, car malgré toutes tes connaissances, tu ne sais que faire de ton avenir. Tu ne souhaites juste pas servir, les desseins d’autrui. Tu es ce blanc de l’innocence. Pourtant, tu es aussi ce rouge. Lorsque tu aimes quelque chose, c’est une passion qui t’habite. Ce sont des étincelles paisibles au sein de tes prunelles. Rouge pour ce feu qui t’habite. Colère ardente envers les traditions, le destin et les lois de ta famille. Tu es cette douce chaleur, celle qui nous réchauffe en plein hiver. De ce mélange, tu es contradiction. Fini les tourments, mais, trop souvent viennent les doutes. Tu cherches ta voie, mais tu ne la trouves pas. Les questions viennent. Les réponses jamais.

Dans le monde de Memoria… Dans le monde réel. Tu ne te montres pas si différent. Tu ne comptes pas jouer un rôle. Non. Tu veux rester vrai. Pas besoin de masque. Tu n’es pas artificiel. Superficiel. Donner une image précise de toi ? Tu te fiches des regards. Doux zéphyr. Le soleil lui dans ce regard. Tu veux simplement rire. Vivre. Comme le ferait un étudiant de ton âge. Ce sont des expressions timides. Naturellement, viennent-elle. Délicatement, elles se révèlent.

Tu es une mélodie unique.
Un lys.
Parfois, un acanthe, une part d’art dans cette âme.
Une rose.
Parfois tu voudrais cueillir, mille bouquets de strelizia.
Rêves de libertés.
Tu as mis fin au silence de l’hiver.
Pourtant parfois il revient.
Une symphonie pleine de tristesse.
Perdu dans le froid, sans jamais y voir la fin.
L’espoir demeure mais, face au constat de la vie...
Fleur brûlée,
Tu te laisses consumé,
Le chagrin demeurant,
Avec force sous ce courage.

Trivia : adore les chats – et les chats l’adore aussi – a déjà posé pour un magazine de mode populaire – en réalité ça lui arrive toujours – a fait du kendo et du kyudo pendant 1 an –  est dans un club d’athlétisme – adore la glace citron – galère à se lever le matin – rougit assez facilement en réalité -  se balade très souvent là où on trouve de la verdure – il traîne toujours avec son appareil photo sous la main – s’est déjà bagarrer plusieurs fois – of course c’était pour défendre quelqu’un d’innocent