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Saito Miyuki || Don't listen to the silence of winter
Saito Miyuki
Saito Miyuki
✦ Hope ✦ Niveau 2
Date d'inscription : 07/11/2020
Messages : 99
Ft : Todoroki Shoto - My Hero Academia
Réputation : 94
Métiers/Etudes : Actuellement, Miyuki est étudiant dans une Université d’Éducation . Miyuki a tendance à chercher des petits boulots pour les étudiants, y cherchant de l'indépendance.
Saito Miyuki
Sam 7 Nov - 20:31
Saito Miyuki
ft Todoroki Shoto - My Hero Academia
Nom ;Saito, signifie "rituel" Prénom(s) ;Miyuki, signifie "silence de la neige profonde"
Date de naissance ; 30/09/2011 Âge ; 19 ans Lieu de naissance ; Okutama - Japon
Origines ; Japonaises Nationalité ; Japonaise
Genre ; Masculin Orientation sexuelle ; Pansexuel
Situation ; Célibataire (qui a rompu ses fiançailles il y a pas si longtemps) Statut social ; Riche Métier(s) / Etudes ; Quand il n’était qu’un petit garçon, Miyuki apprenait grâce à des professeurs qui venaient directement enseigner à domicile. Il n’aura donc pas connu l’école maternelle ou même le collège. Il ne connaîtra les joies d’être dans une classe, entourée de camarades qu’à partir de l’école secondaire, ce, pendant 3 ans. Actuellement, Miyuki est étudiant dans une Université d’Éducation. S’il ne fait ces études que sous l’obligation de ses parents et que cela ne lui plaît guère, il n’en reste pas moins l’un des meilleurs élèves. Aussi, Miyuki a tendance à chercher des petits boulots pour les étudiants, y cherchant de l'indépendance.
Passes-temps ; Jouer à Memoria – Jouer du piano – Faire du footing – Ecouter de la musique en regardant les paysages – La photographie Rêve(s) ; Être indépendant avant tout – Se trouver un métier/des études qui lui plaisent
Caractère ; Regarde la neige… Lorsque l’hiver vient, elle tombe en silence. Laissant derrière elle, un drap blanc immaculé. Regarde-la avec mélancolie. Tandis que tu sens l’air glacial surprendre tes poumons. Dans un souffle calme. Lorsque l’on te regarde, on voit un jeune garçon sérieux. Qui inspire la sérénité. C’est celui qui a un bel avenir qui se distingue. Intelligent et posé. Qui parfois, par la fenêtre, ses yeux vont se poser, observer. La douceur se lit, et les lumières dorées dansent avec légèreté. Tu es une de ces têtes de classe. L’une de ses personnes qu’on pense trop distant avec le monde. Est-ce vrai ? Plus ou moins. Tu ne te montres pas très sociable. Pourtant, tu apprécies écouter les rires de tes camarades. Voir leur sourire. Loin de cela. Le bonheur et la liberté d’autrui, laissent ce goût fruité qui réjouit ton cœur. Tu sembles parfois inaccessible, il est vrai, lorsque tu es concentré, un mur vient t’entourer. Néanmoins, tu as le cœur sur la main. Et tu as plus de caractère qu’on pourrait le croire...
Sous ce paysage hivernal, tu contemples, tu te sens lassé. Dans ce lieu solitaire, tu sens l’envie de hurler. Hurler jusqu’à ce que ta poitrine te brûle. Que ta gorge n’en puisse plus. Laisser s’échapper cette frustration, cette rage. Parce que tu en as assez. Assez de vivre au sein d’une famille portée sur les traditions. Une famille qui cherche à tracer ton chemin. N’as-tu donc pas de choix qui s’offrent à toi ? N’as-tu donc pas le droit de choisir ta voie ? La vie veut t’en empêcher. Mais tu le maudis ce destin qu’on t’impose. Tu le maudis et tu veux l’envoyer valser. Tu n’es pas un pantin. C’est la crise et les mots s’expriment. L’avalanche qui a enfoui tes sentiments, tu l’as surmontée. Tu t’es élevé au-dessus. Non pas avec fierté, mais détermination.
Ce ne sont pas de pâles couleurs qui déterminent ton âme. Tu es pure, rempli de sincérité, de simplicité. Et une page vide, car malgré toutes tes connaissances, tu ne sais que faire de ton avenir. Tu ne souhaites juste pas servir, les desseins d’autrui. Tu es ce blanc de l’innocence. Pourtant, tu es aussi ce rouge. Lorsque tu aimes quelque chose, c’est une passion qui t’habite. Ce sont des étincelles paisibles au sein de tes prunelles. Rouge pour ce feu qui t’habite. Colère ardente envers les traditions, le destin et les lois de ta famille. Tu es cette douce chaleur, celle qui nous réchauffe en plein hiver. De ce mélange, tu es contradiction. Fini les tourments, mais, trop souvent viennent les doutes. Tu cherches ta voie, mais tu ne la trouves pas. Les questions viennent. Les réponses jamais.
Dans le monde de Memoria… Dans le monde réel. Tu ne te montres pas si différent. Tu ne comptes pas jouer un rôle. Non. Tu veux rester vrai. Pas besoin de masque. Tu n’es pas artificiel. Superficiel. Donner une image précise de toi ? Tu te fiches des regards. Doux zéphyr. Le soleil lui dans ce regard. Tu veux simplement rire. Vivre. Comme le ferait un étudiant de ton âge. Ce sont des expressions timides. Naturellement, viennent-elle. Délicatement, elles se révèlent.
Tu es une mélodie unique. Un lys. Parfois, un acanthe, une part d’art dans cette âme. Une rose. Parfois tu voudrais cueillir, mille bouquets de strelizia. Rêves de libertés. Tu as mis fin au silence de l’hiver. Pourtant parfois il revient. Une symphonie pleine de tristesse. Perdu dans le froid, sans jamais y voir la fin. L’espoir demeure mais, face au constat de la vie... Fleur brûlée, Tu te laisses consumé, Le chagrin demeurant, Avec force sous ce courage.
Trivia : adore les chats – et les chats l’adore aussi – a déjà posé pour un magazine de mode populaire – en réalité ça lui arrive toujours – a fait du kendo et du kyudo pendant 1 an – est dans un club d’athlétisme – adore la glace citron – galère à se lever le matin – rougit assez facilement en réalité - se balade très souvent là où on trouve de la verdure – il traîne toujours avec son appareil photo sous la main – s’est déjà bagarrer plusieurs fois – of course c’était pour défendre quelqu’un d’innocent
Taille ; 1m69 / Corpulence ; Légèrement musclé / Cheveux ; Noirs de base, mais teints en rouge et blanc / Yeux ; Vairons (marron, bleu)
Histoire ; Les cheveux en bataille. Tu contemples le paysage. Quelques mèches blanches. Quelques mèches rouges devant tes yeux. Regard perdu dans l’horizon. Allongé. L’odeur du thé qui persistait. La porte s’entrouvrait délicatement :
« Miyuki-sama, votre mère, vous appelle. »
Miyuki… Parce que tu étais simplement l’enfant. Parce que personne ne s’y retrouverait qu’avec un simple nom de famille. Il fallait distinguer chaque membre de cette maison… Toi. Miyuki. Tes prunelles s’unissent à cet être. Un air mécontent se discerne. Non pas envers ce serviteur. Non… Tu n’avais aucune raison d’être en colère contre lui. Ce sont ses paroles qui t’agacent. Cette idée qu’elle veuille t’adresser la parole. Lassé… Tu te détournes de lui. Te recentre sur tes contemplations :
« Dis-lui que je ne veux pas la voir. »
Tel un caprice. Tu t’exprimes. Pauvre homme qui baisse la tête, constatant que tu n’avais pas touché une seule fois à cette tasse préparé avec soin. Oh, il te connaît bien. Alors il a l’audace de te demander :
« Miyuki-sama, votre thé va refroidir, ne voulez-vous pas le boire ? »
« Pardon… Mais je n’ai pas très soif. Désolé Inoue… Bois-le à ma place si tu veux. »
« Bien. Si vous avez besoin de quoique ce soit…. Appelez-moi. »
Et il se replie. Tu entends les portes coulissantes se refermer. Un soupir. Il s’échappe de tes lèvres. Goût amer. Sous ce tableau, les souvenirs remontent. La nostalgie d’un moment. Comme si l’hiver, t’enveloppait d’une brume épaisse. Une brume qui te plongeait dans un passé jamais oublié.
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Tu te souviens d’un père. Un ancien vétéran de l’armée. Un flic qui gère toute la police d’Okutama…. Lui qui a toujours eu ce regard sévère. Cette envie de mettre les lois en ordre. De les suivre. Lui, obnubilé par les traditions. Homme plein de richesse. Homme qui vivait en pleine ivresse. Il te répétait sans cesse que tu étais son héritier. Il te répétait sans cesse ce que tu devais faire. Ne pas faire. Comment un homme doit se comporter. Quelles études tu devrais faire. Comment tu pourrais apporter encore plus de pouvoir, d’argent à cette maison. À cette famille. Il te le répétait sans cesse… Il te le répète toujours. Ah… C’est la crise. C’est la haine. C’est la rage.
Mais pas un mot. Un silence qui semblait éternel.
Tu te souviens d’une mère. Née dans une famille qui possédait de riches terres. Une calligraphe vivant dans les traditions. Elle avait toujours le regard plein d’espoir. Cette envie de te livrer ses obligeances. Sans avoir ton avis. Femme pleine de richesse. Femme qui vivait en pleine ivresse. Elle te répétait sans cesse que tu étais l’enfant unique. Elle te répétait sans cesse ce que tu devais faire. Ne pas faire. Quel genre de femme tu devais épouser. Comment tu devrais te comporter avec elle. Quelles disciplines nobles tu devais savoir faire. Comment tu pourrais apporter encore plus de pouvoir, d’argent à cette maison. A cette famille. Elle te le répétait sans cesse…. Elle te le répète toujours. Ah… C’est la crise. C’est la haine. C’est la rage.
Mais pas un mot. Le silence, harmonie avec la neige.
Pourquoi vivre comme eux le voudraient ? Enfant, tu ne t’en soucias pas vraiment. Enfant, tu étais toujours cette fleur de l’innocence. Ce sourire. Ce rire. Tu étais aimé, il est vrai. Très aimé. Lorsque tu avais dévoilé cette brûlure à ton visage. Lorsque la douleur était si forte. Que tes larmes ont coulé. Ils se sont inquiétés. Ils t’ont consolé. Petit, on t’offrait plein de choses. Des livres, un piano ou de la glace. Mais tu demeurais dans une solitude. Dans le parc. Tu les voyais, ces enfants qui jouaient ensemble. Ils se connaissaient grâce à l’école… Ils parlaient avec tant de gaieté. Pourquoi tu ne connaissais pas cela toi ? Les joies d’une classe… Tradition…. Pour plus de savoir. Pour que tu sois le seul centre de l’attention. Et le petit garçon s’en rendait compte. Son cœur se serrait. Mais il se taisait. Plus grand, on t’offrait de l’argent. Ton regard s’était assombri lui. Les nuages s’étaient rassemblés. Ils ne voulaient pas se dissiper. Un calme hivernal. Tu semblais si froid. Lors de tes premiers pas dans une classe. Le stress était à son comble. Ton cœur battait à mille à l’heure… Pourtant, une douce chaleur s’était glissée au sein de ton âme. Une douce mélodie. Un peu de couleurs d’été. Tu avais du mal à te sociabiliser. Tu n’aimais pas qu’on te pose des questions : « Pourquoi tu as cette brûlure au visage ? » « Ton père, c’est vraiment un policier ? » « C’est vrai que tu vis dans cette grande maison traditionnelle un peu en hauteur ? » « C’est comment là-bas ? »
Ah ! Mais qu’ils arrêtent ! C’est du harcèlement…. Alors tu te tais. Gêné… C’était peut-être un peu à cause de ça qu’une distance c’était installée…. Parce qu’en plus, tu étais un bon élève. Calme et obéissant. Pourtant, peu t’importait. Voir les visages des autres… Ne plus être simplement seul chez-toi. C’était un véritable plaisir. Et les saisons passaient. Et le temps continuait d’avancer. Au rythme de tes pas.
Tu te souviens. De comment ta vie se répétait sans cesse. Petit à petit, tu voulais un peu plus vivre…
Tu te souviens… Ce jeune garçon se faisait maltraiter. L’envie de montrer sa force. D’en faire l’étalage…. Cela t’avait énervé. Tu l’avais défendu. Les poings sont venus. Pour la première fois, tu t’es battu. Tu as senti une colère profonde en toi… Non… Tu avais l’impression que depuis un moment déjà elle était présente. Elle se glissait en ton sein. Pourtant, tu ignoras ce constat. Il fallait te concentrer sur les répercussions de tes actes. La voix s’était élevée contre toi. Pourtant, tu n’avais aucun regret. Depuis… Chaque fois que tu vois quelqu’un se faire maltraiter. Tu viens le défendre. Pas de la meilleure des manières sans doute. Pourtant, tu refuses de rester là sans rien faire.
Tu te souviens. C’était une amie d’enfance oui… Vos deux familles respectives s’entendaient à merveille. Toujours dans les traditions. Dans la richesse. C’était l’enfant d’une chirurgienne et d’un professeur d’anglais. Si bien rémunérés. On te l’avait annoncé. Tu étais encore au lycée… Des fiançailles. Elle était ta fiancée. Ton avis, on en avait cure. Tes désirs, ils importaient peu. Tu sentais la colère monter en toi. Mais tu la taisais. Une fois de plus. Toujours silencieux. Sans bruit. Pas un mot. Les sentiments s’entassaient. S’entassaient. Encore et encore. Tu conservais tout cela au fond de ton cœur. Et petit à petit, tu avais l’impression qu’il allait exploser. Peut-être commençait-il déjà à tomber en morceau. Lorsque tu constatais que tu n’avais pas le droit de sortir avec tes camarades. Parce que tu avais tes cours du soir. Que tu avais une cérémonie de thé. Que tu ne pouvais pas parler de l’évolution d’Okutama sans réprimandes. Que tu n’avais pas le droit d’être intéressé par cette technologie. Pire, que tu n’avais pas le droit de parler ne serait-ce qu’un peu des problèmes dans la société. De Detekuru lab. Ou je ne sais quoi d’autre ! Tu te brisais peu à peu. Pour te décompresser, tu allais courir dans ce jardin immense. Tu te posais simplement dans ta chambre. Tu t’enfermais. Tu déprimais….
Un jour, tu t’es exprimé.
Les cheveux teints. L’envie de liberté qui se dessine. Sur ces traits, tu te rebelles. Tu ne te laisses plus faire. Qu’ils aillent se faire voir ! Eux avec leurs traditions. Leurs envies. Tu annules les fiançailles. Comment ? En agissant de la pire manière qu’il soit devant la famille de ta fiancée. Disant haut et fort que tu n’aimais pas leur fille. Barbante et chiante à souhaits. La colère survient. Les engueulades commencent. Peu importe. La situation est d’un venin. Un puissant poison. Pourtant, toi, tu te sens mieux. Mieux dans ta peau et dans ta façon de faire. L’argent qu’on t’a offert des mois durant, tu l’utilises pour acheter des consoles, des mangas ou sortir te régaler dans les rues d’Okutama. Tout ce qu’ils détestent ! La technologie, ils n'aiment pas ça. Okutama a bien changé. Ils s’en sont senti affectés. Ils ne l’ont pas supporté. Et toi, tu changeais à son rythme. Tu évoluais comme elle. Vers un futur plus grand. Plus radieux à tes yeux.
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Doucement, tes yeux se rouvrent. La peau glacée. Tu te rends compte que tu t’étais endormi. Avec ta véranda ouverte…. Les couleurs du crépuscule illuminaient le ciel. Douces couleurs. Espoir, il se lit entre tes lèvres. Tu te relèves et t’étires un peu. Tu allais devoir faire tes devoirs… Certes, tu n’as pas envie d’être dans cette Université d’Éducation…. Néanmoins, tu ne pouvais pas pourrir ton dossier. Tu n’es pas adulte. Ca te fait chier. Mais tu dois faire avec. Tu manques de liberté. Mais, un jour, tu la saisiras. Tu y crois si fort. C’est cette pensée ton soleil levant.
« Miyuki ! »
La voix de ta mère résonne…. C’est vrai qu’elle voulait te voir. Sans doute pour te reparler de ces fiançailles que tu as brisé. Elle est en colère.
Peu importe.
Hellow moi c'est Yui, j'ai 17 ans -quoique bientôt 18 !-, je suis un peu la graphiste du fofo et celle qui suit Lykos dans ses délires ! Je fais parti du super staff et j'espère que l'aventure ici sera pleine de confettis !
Code:
<span>Todoroki Shoto</span> // My Hero Academia // <a href="#">→ IDIRL Saito Miyuki</a>
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Wah. Franchement, ça fait un bail que je t'ai pas lue, et c'est si beau. Je suis juste essouflé à l'idée de tous ces points dans ton texte, parce que psychologiquement, c'est le moment où on s'arrête pour reprendre notre respiration sinon c'est incroyable, j'adore.
Ton personnage est sympa aussi, le fait qu'il ait été si calme toute sa vie et qu'il trouve enfin le courage de se rebeller, de se teindre les cheveux (d'ailleurs c'est dit doucement, j'aime bien), mais j'ai vraiment trop envie de savoir quelle est cette brûlure !!! j'ai hâte de rp, d'en connaître plus sur ton personnage IRL et de développer notre lien
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Nous tenons à te rappeler que tu as devant toi deux semaines pour entamer ton premier rp parmi nous à OTEC. Pas d'inquiétudes, si le délai est trop court, tu peux tout simplement nous MP pour nous avertir de ta détresse.
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sinon c'est incroyable, j'adore.
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